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 L'histoire sans fin.

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Samuele Luzzi
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Samuele Luzzi


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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Dim 10 Jan - 1:46

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous.
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Kalyah E. Dacosta
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Sam 30 Jan - 21:20

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée !
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Leïann E. Miller
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Dim 31 Jan - 22:05

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

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Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lache pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant...
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Sam 6 Fév - 22:48

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- "Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !"

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lâche pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant.

- "Lâchez-moi maintenant, je suis une mère de famille respectable et..."

Je décida qu'il était temps de les semer pour de bon. Il suffirait que je traverse la route pour rejoindre l'autre côté de la rue. Le seul problème, beaucoup de voitures allaient et venaient. Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'un véhicule lancé à vive allure me percuta. Je me retrouvais maintenant inconsciente, gisant sur le bitume.
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Mar 9 Fév - 22:16

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- "Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !"

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lâche pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant.

- "Lâchez-moi maintenant, je suis une mère de famille respectable et..."

Je décida qu'il était temps de les semer pour de bon. Il suffirait que je traverse la route pour rejoindre l'autre côté de la rue. Le seul problème, beaucoup de voitures allaient et venaient. Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'un véhicule lancé à vive allure me percuta. Je me retrouvais maintenant inconsciente, gisant sur le bitume. Je ne voyais plus, je n'entendais plus. Je ressentais simplement une étrange impression, comme si un troupeau d'éléphant venait de me marcher dessus. J'ai mal, je suis perdue, je ne sais même plus où je suis. Je suis dans le noir et je ne sais pas comment sortir de là.
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Samuele Luzzi
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Mar 23 Fév - 17:55

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- "Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !"

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lâche pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant.

- "Lâchez-moi maintenant, je suis une mère de famille respectable et..."

Je décida qu'il était temps de les semer pour de bon. Il suffirait que je traverse la route pour rejoindre l'autre côté de la rue. Le seul problème, beaucoup de voitures allaient et venaient. Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'un véhicule lancé à vive allure me percuta. Je me retrouvais maintenant inconsciente, gisant sur le bitume. Je ne voyais plus, je n'entendais plus. Je ressentais simplement une étrange impression, comme si un troupeau d'éléphant venait de me marcher dessus. J'ai mal, je suis perdue, je ne sais même plus où je suis. Je suis dans le noir et je ne sais pas comment sortir de là. Lorsque mes yeux se ré-ouvrirent, je ne reconnaissait rien autour de moi. C'était blanc. Il y avait du blanc partout, je voyais flou. Je pensa immédiatement que je devais être morte que ce n'était pas possible autrement et que je me trouvais... dans les nuages. Moi, croire à une telle une chose. Je n'y aurais jamais cru avant aujourd'hui. Il y avait deux personnes au dessus de moi qui parlaient. Ils étaient vêtus de blanc. L'un avait une piqure...
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Leïann E. Miller
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Mar 23 Fév - 18:13

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- "Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !"

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lâche pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant.

- "Lâchez-moi maintenant, je suis une mère de famille respectable et..."

Je décida qu'il était temps de les semer pour de bon. Il suffirait que je traverse la route pour rejoindre l'autre côté de la rue. Le seul problème, beaucoup de voitures allaient et venaient. Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'un véhicule lancé à vive allure me percuta. Je me retrouvais maintenant inconsciente, gisant sur le bitume. Je ne voyais plus, je n'entendais plus. Je ressentais simplement une étrange impression, comme si un troupeau d'éléphant venait de me marcher dessus. J'ai mal, je suis perdue, je ne sais même plus où je suis. Je suis dans le noir et je ne sais pas comment sortir de là. Lorsque mes yeux se ré-ouvrirent, je ne reconnaissait rien autour de moi. C'était blanc. Il y avait du blanc partout, je voyais flou. Je pensa immédiatement que je devais être morte que ce n'était pas possible autrement et que je me trouvais... dans les nuages. Moi, croire à une telle une chose. Je n'y aurais jamais cru avant aujourd'hui. Il y avait deux personnes au dessus de moi qui parlaient. Ils étaient vêtus de blanc. L'un avait une piqure. Mais j'suis où là ? Je me souviens de Brutus et Mémé, mais la suite, c'est le trou noir ! L'un des hommes s'approche de moi et se penche pour saisir mon bras. Je me débats en hurlant, me demandant ce qu'il me veut. Je me mets à crier, comme jamais je n'avais hurlée. J'ai peur et je veux.. Ma mamaaaaaaaaaan ! ô.O
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MessageSujet: Re: L'histoire sans fin.   L'histoire sans fin. - Page 3 Icon_minitime1Mar 23 Fév - 18:37

Ce matin, ma voisine à promené son chien. Je l'aime pas car son chien ressemble à rien comme son pantalon en soie vert et son chapeau en coton bleu. Et puis, son mari il est répugnant ; il est gros et très laid : on dirait Jabba le Hut dans Star Wars !!! En plus, hier j'ai vu qu'il se curait le nez avec la fourchette qu'elle a utilisait pour manger; mais heureusement, son lapin en peluche s'est mit à pleurer et le reste de ses nains de jardins aussi. Mais son mari éclata de rire comme un phoque, le pire, c'est que sa femme n'a rien vu. Je crois qu'elle en a tellement marre, qu'elle ne remarque plus. A force de dire n'importe quoi, j'oublie que je dois me rendre à Auchan pour reprendre des munitions en bouteilles pour le weekend !!! Sans oublier le beurre de peanuts et les M&M's pour mes deux Diablesses préférées qui sont folles de Randy Orton et Rey Mysterio, dont une qui nous fait des rêves très agités avec ReyRey. Et l'autre, qui rêve toutes les nuits de Jensen et Randy; bref elles rêvent toutes les deux et nous on dort pas tellement elles font des bruits étranges. Le pire c'est quand elles sont ensembles et qu'elles crient Booyaka Booyaka pour toute la ville. Il faut bien le dire, elles sont totalement dingues mais elles sont adorables avouons-le.... Ou pas, car parfois elles se lavent dans la cuvette des w-c. Bien évidemment, c'était une blague .. Sur le chemin, une irrépressible envie d'aller dans un bar monta en moi. Je me dis donc à moi même :

- "Tiens si j'allais faire un tour dans le Bar d'Aaron?!"

Je ne sais pas pourquoi, j'y entra à quatre pattes et tout le monde me regarda. Mais comme ils étaient tous plus ou moins bourrés, ils me regardèrent sans vraiment faire gaffe que j'étais à quatre patte, je pars en direction d'un tabouret et essaye de m'asseoir dessus toujours à 4... pattes. Je ne sais pas ce qui m'arrive aujourd'hui, mais je me comporte bizarrement. C'était plus dur que je ne l'avais cru. Je m'y étais mal prise. je me retrouva par terre avant qu'un vieux monsieur ne me retienne au dernier moment mais lorsqu'il vu ma tête, il me repoussa par que je tombe par terre. Je me dis que ce vieux est un gros rat de pourriture communiste mais je suis forte, donc je me relève et m'asseoit sur le tabouret. Arrivée sur le sommet du tabouret, je commande 2 Whisky sec sans glace pour reprendre mes esprits et regarde autours de moi les clients du Bar : Tous la barbe et le manteau de Cuir :

- " Sont tous Bikers ici ou quoi ?! "

Les deux whisky étant arrivé, je les bois d'une traite sans même respirer entre les deux. Je prend les deux verres vides et les lance en direction du vieil homme qui ne m'avait pas aidé. C'est alors qu'un Mec, dans le genre armoire à glace, rentre dans le Bar se pointe devant moi et me regarde du haut de ses 2m et de ses 100kgs de muscles facile !!! Je ne savais pas du tout quoi faire pour me sortir de situation périlleuse. Je décida alors de courir en direction des toilettes pour femmes et de m'enfermer à l'intérieur. Il y avait déjà une femme à l'intérieur. Elle me regarde assez bizarrement, le pire, elle est vieille et moche, elle me fait penser à la Reine Elisabeth II. Je me mets à rire toute seule comme une teubée en la regardant de travers. Puis je lui dis :

- " Mais qu'est ce que vous foutez dans mes chiottes la vieille? Non mais savez pas vue que c'était un espace réservé à moi "

Et là je la chope par le col, j'ouvre la porte et la balance sur le mastodonte qui attendait toujours derrière la porte. Je referme vite et j'entends un énorme cri et Mémé qui commence à faire des baisers bien baveux au molosse. Je ne savais plus quoi faire, ils étaient tous aussi dingue que moi dans ce bar. J'apercevais alors une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Le mieux pour moi à ce moment là était de fuir. J'ouvris alors la vitre et commença à m'extraire de la pièce jusqu'à ce que je sois bloquée. Mes fesses, elles ne passaient pas. Je forçai donc pour essayer de faire passer mon derrière, mais je n'y arrivais toujours pas. Je demande à quelqu'un qui était près de moi de m'aider, alors il me donna une énorme tape sur le derrière et je tombai parterre, dehors. Tout en me relevant et en passant légèrement ma main sur mes fesses, je me retourne vers la fenêtre et hurle un MERCI à la personne toujours dans les toilettes; malheureusement avant même le temps d'entendre un DE RIEN, le mastodonte arrive à l'angle de la rue. Mémé toujours sur son dos, l'armoire à glace surnommait Brutus commence à courir la gueule grande ouverte comme pour me manger en 1 fois (qu'il est con quand même Brutus ).

J'étais encore dans une situation très critique. Je ne savais plus vraiment quoi faire. Courir ? Oui, mais dans quelle direction ? Tout a coup je vis un camion poubelle passer sur la route parallèle au trottoir sur lequel Brutus, Mémé et moi étions. Je traversai la route évitant les voitures à grandes enjambées et sauta sur le petit plateau à gauche du camion. Il y avait un employé sur celui de droite qui me regarda dubitativement.

- "Euhh je me suis fait engagé hier et je me suis levé un peu trop tard alors j'ai essayé de retrouver le camion !"

Dis-je avec un big smile. Je me retournai et vit que Brutus avec Mémé ne pouvait plus me rattraper, mais l'employé à droite en profita pour me faire tomber du petit plateau. Je me retrouve donc sur les fesses, en plein milieu de la route. A croire que j'ai un gros problème avec mes fesses aujourd'hui ! Enfin, je me relève en voyant Mémé et Brutus venir vers moi. Je ne sais pas ce qu'ils me veulent, mais j'ai grave trop peur... Je pars donc en courant vers la gauche et me retrouve dans une ruelle sombre... La chance semblait me fuir aujourd'hui. Il ne m'arrivait que des emmerdes. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire. j'avais tord. Je n'aurais jamais du rentrer dans cette ruelle. Il y avait un règlement de compte entre deux bandes. Les coups de poings, de battes et de couteaux s'arrêtèrent et ils me fixèrent tous. Je me sentis un peu de trop sur le coup, et surtout mal vu les regards qu'ils me jetaient. Ils se mirent à se diriger lentement vers moi, alors je retournai en arrière en courant, bien évidemment ils se sont aussi mis à courir, je fonçai vers la sortie de la ruelle sombre, mais en sortant, je vis Mémé et Brutus à 3 mètre de moi, je filai dans l'autre sens en courant comme une teubée ! Je cours le plus vite possible, regardant par moment derrière moi. Mémé et Brutus sont toujours en train de me suivre, Mémé ne lâche pas Brutus et mets ses mains devant ses yeux. Brutus ne voit pas la poubelle et se ramasse, Mémé tombe sur lui. Je me mets à rire, mais je vois rapidement que la bande de tout à l'heure continue de me suivre. Je me remets à courir en agitant mes bras en l'air et en criant.

- "Lâchez-moi maintenant, je suis une mère de famille respectable et..."

Je décida qu'il était temps de les semer pour de bon. Il suffirait que je traverse la route pour rejoindre l'autre côté de la rue. Le seul problème, beaucoup de voitures allaient et venaient. Je n'eus même pas le temps de terminer ma phrase qu'un véhicule lancé à vive allure me percuta. Je me retrouvais maintenant inconsciente, gisant sur le bitume. Je ne voyais plus, je n'entendais plus. Je ressentais simplement une étrange impression, comme si un troupeau d'éléphant venait de me marcher dessus. J'ai mal, je suis perdue, je ne sais même plus où je suis. Je suis dans le noir et je ne sais pas comment sortir de là. Lorsque mes yeux se ré-ouvrirent, je ne reconnaissait rien autour de moi. C'était blanc. Il y avait du blanc partout, je voyais flou. Je pensa immédiatement que je devais être morte que ce n'était pas possible autrement et que je me trouvais... dans les nuages. Moi, croire à une telle une chose. Je n'y aurais jamais cru avant aujourd'hui. Il y avait deux personnes au dessus de moi qui parlaient. Ils étaient vêtus de blanc. L'un avait une piqure. Mais j'suis où là ? Je me souviens de Brutus et Mémé, mais la suite, c'est le trou noir ! L'un des hommes s'approche de moi et se penche pour saisir mon bras. Je me débats en hurlant, me demandant ce qu'il me veut. Je me mets à crier, comme jamais je n'avais hurlée. J'ai peur et je veux.. Ma mamaaaaaaaaaan ! Je remarque que je ne peux plus bouger mes bras. Je porte une veste bizarre dans laquelle mes bras sont coincés.

- Je... Où je suis ??? Je... Je me sens pas très bien.

Une jeune femme vint près de moi pour me rassurer en me disant de ne pas m'inquiéter que c'était l'effet des médicaments que c'était pour me calmer et que j'irais bientôt mieux...
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